«Quelque chose rappelle les contes d’enfance à la Grimm les plus inquiétants, ceux où s’entremêlent l’élégance et l’horrifiant [...] dans une descente ciselée entre l’organique, l’environnement, le grouillant, l’intériorité, la violence» SPIRALE
«Poésie narrative et fortement originale, voire théâtrale avec des personnages bien identifiés, que nous offre Marie [...] L’écriture fragmentée de la poète tresse les feuilles rongées aux tiges et aux corolles sans perdre le fil narratif» LA PRESSE